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Intensifier les logiques urbaines
Le projet se développe dans deux bâtiments autour d’un jardin et s’inscrit dans la logique d’implantation des parcelles adjacentes. Il contribue à intensifier la logique de pleins et de vides d’un bâtiment sur rue, une cour et un bâtiment en fond de parcelle.
Cohabitation plurielle
Le programme propose un hébergement temporaire meublé intégrant des services et locaux communs pour des étudiants en échange, des travailleurs en mobilité professionnelle et des travailleurs expatriés (seuls et en famille).
Habiter les extérieurs
La parcelle est étroite. Pour libérer au maximum les plateaux constructibles, la cour devient un hall à ciel ouvert, un espace de vie et de rencontre. Elle distribue les logements par des passerelles extérieures.
Tous les espaces extérieurs créés par les décrochés des volumes construits sont habités et les parties non accessibles plantées.
Des logements flexibles
Les logements sont traversants. Libérés de points porteurs, ils dégagent un maximum de surface pour l’espace de vie et une flexibilité dans l’évolution programmatique de la vie du bâtiment.
S’inscrire dans une économie de moyens
La façade reprend et réinterroge les codes d’un immeuble de faubourg en y intégrant les questions d’usages et d’économie de matières. Quatre fenêtres et trois trumeaux permettent une liberté dans la position du cloisonnement. Nous limitons l’emploi de matériaux de second oeuvre ; bien que livrés finis, les matériaux sont laissés bruts au maximum.
Images © Le Bureau Jaune, d&ba
Le projet se développe dans deux bâtiments autour d’un jardin et s’inscrit dans la logique d’implantation des parcelles adjacentes. Il contribue à intensifier la logique de pleins et de vides d’un bâtiment sur rue, une cour et un bâtiment en fond de parcelle.
Cohabitation plurielle
Le programme propose un hébergement temporaire meublé intégrant des services et locaux communs pour des étudiants en échange, des travailleurs en mobilité professionnelle et des travailleurs expatriés (seuls et en famille).
Habiter les extérieurs
La parcelle est étroite. Pour libérer au maximum les plateaux constructibles, la cour devient un hall à ciel ouvert, un espace de vie et de rencontre. Elle distribue les logements par des passerelles extérieures.
Tous les espaces extérieurs créés par les décrochés des volumes construits sont habités et les parties non accessibles plantées.
Des logements flexibles
Les logements sont traversants. Libérés de points porteurs, ils dégagent un maximum de surface pour l’espace de vie et une flexibilité dans l’évolution programmatique de la vie du bâtiment.
S’inscrire dans une économie de moyens
La façade reprend et réinterroge les codes d’un immeuble de faubourg en y intégrant les questions d’usages et d’économie de matières. Quatre fenêtres et trois trumeaux permettent une liberté dans la position du cloisonnement. Nous limitons l’emploi de matériaux de second oeuvre ; bien que livrés finis, les matériaux sont laissés bruts au maximum.
Images © Le Bureau Jaune, d&ba